C'est l'histoire d'un homme ridicule, un comédien, qui vient nous raconter une histoire abracadabrante en nous jurant que son histoire, elle est vraie, elle est complètement vraie. Même si on n'est pas obligés de le croire.
C'est l'histoire d'un homme de théâtre qui nous raconte son passé dans un conservatoire de province et ses débuts de mime dans des bars à spectacle, et qui compose devant nos yeux l'incroyable périple d'un ami supposé, qui aurait fait le tour du monde et rencontré toutes
sortes d'aventures, depuis les sommets de l'Himalaya jusqu'au fin fond des Enfers.
Et pourquoi ne pourrait-on pas y croire, après tout, le temps d'un voyage, d'un spectacle ? 
A quoi faut-il croire, après tout, parmi les 1000 mensonges dont on nous abreuve, les 1000 "vérités alternatives "qu'on voudrait nous faire avaler ? 
Qu'est-ce qui fait qu'une histoire est
une bonne histoire, qu'est-ce qui fait que tout d'un coup, ben oui, on a envie d'y croire ?

Texte, Création et Régie Lumière : Ophélie KERN
Jeu et Scénographie : Stéphane BOIREAU
Mise en scène : Ophélie KERN et Stéphane BOIREAU
Musique originale et percussions : Pascal PORTEJOIE
Affiche : Vincent ABOUCAYA / Crédit Photos : Clémence CHARBONNIER
Constructeurs: Stéphane BOIREAU, Arnaud VIDAL, Gaëlle PASQUALETTO, Manu FOUCHE, Roland LECLERC

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Un homme seul, un brin cabot, se prend les pieds dans les plis de la vie, tombe et se relève, tombe et se relève. Des balles tantôt objets de jonglage, compagnons de jeu, personnages imaginaires … peuplent chaque recoin du mobilier …
Le jongleur nous ouvre peu à peu les tiroirs de son monde intérieur pour nous laisser entendre le bruit
du dedans …
Derrière ce spectacle jonglé et burlesque drôle et touchant, d’une haute technicité, se cache une solitude qui va se dévoiler au fur et à mesure des défis et exploits traversés.
Clown et jongleur, le majordome est aussi un compositeur génial malgré lui : tout ce qu’il touche résonne ! Ses maladresses deviennent des rythmiques aléatoires et ses mouvements de jongleur autant de mélodies. Les balles frappent, percutent.
Derrière ce spectacle jonglé et burlesque, drôle et touchant, d’une haute technicité, se cache une
solitude qui va se dévoiler au fur et à mesure des défis et exploits traversés. Jouer pour survivre,
s’inventer un ailleurs.
« L’homme [...] n’est tout à fait homme que là où il joue » Friedrich von Schiller

De et avec : Quentin BREVET
Mise en scène : Johan LESCOP
Regard extérieur : Olivier BURLAUD
Musique : Jérémy RAVOUX et Luc BIRRAUX
Production : Anne GUÉGAN

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En 2014, une photo a fait scandale sur la Toile : il s’agissait d’un selfie posté sur un réseau social d’une jeune fille posant tout sourire à Auschwitz.
Qui est Michelle ? Ou plutôt : qui est "uneviedechat" ? Une adolescente insouciante ou mal élevée ? On assiste ici à la confrontation de deux mondes : celui des « vieux », qui regardent défiler le paysage, et celui des jeunes, prompts à le mettre en boîte, ce beau décor, avec leurs smartphones tout équipés et ultraconnectés. C’est à ce nouveau monde qu’appartiennent Kim, Angèle, Michelle, Sélim et Abel. Et c’est l’ancien monde qu’ils viennent visiter en allant découvrir à Auschwitz l’horreur des camps de concentration, ce souvenir dur et froid, qui ne résistera pas, cependant, au sourire de Michelle et au déclenchement de son appareil photo…

A-t-elle accompli son devoir de mémoire en prenant ce selfie ? A-t-elle sali le passé en posant devant les vestiges de la Shoah ? Les avis divergent sur les réseaux sociaux, les commentaires fusent, et la Toile se referme sur Michelle, prisonnière virtuelle d’un harcèlement numérique cruel. L’écran devient le point de confluence entre le réel et l’image, et redessine nos espaces de parole et de liberté.

Avec cette pièce chorale inspirée d’un fait divers réel, Sylvain Levey nous laisse libres d’exercer notre regard – et notre jugement – sur cette société du paraître que nous avons bâtie. Grâce à une dramaturgie jouant de l’immédiateté d’Internet, il démonte le mécanisme de l’emballement virtuel, qui confine au harcèlement.

Mise en scène : Franck REGNIER
Scénographie : Andréa WARZEE
Avec Mathilde CERF, Guillemette CREMESE, Sabrine BEN NJIMA, Léonce PRUVOST, Anthony CANDELLIER, Elise DANO, Cédric SAULNIER, Franck REGNIER
Création lumières, régisseur général : Charlie Henry

Chorégraphie : Cie Mouvementé
Création costumes : Emilie ODIN
Créations sonores : Johan PUTET
Aide Chant : Tiffany LEONARD
Voix Off : Sandra VANDROUX, Tom GUITTET, Romain BRESSY, Thomas GIRAUD
Diffusion : Mélanie MARTINET
Avec le soutien de :
DRAC - AURA
La Couronne Lyonnaise
Département de la Drôme
Communauté de communes du Pays de Dieulefit-Bourdeaux
Montélimar Agglomération
Mairie de Vesc
Coproductions :
Théâtre Emile Loubet de Montélimar (26)
Le Sémaphore d’Irigny (69)
Espace Vaugelas de Meximieux (01)

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Que veut-on faire de nos vies ? Quels sont nos rêves, nos aspirations et sont-ils tous illusoires ? Comment prendre des décisions pour nous-mêmes - et si possible, les bonnes… ?

Les scènes s'enchaînent et introduisent une multitude de personnages. Chacune nous amène à nous poser la question du désir, et du courage nécessaire pour le combler.

Résidents de la grande ville moderne, coincés dans leur solitude mais remplis de petits espoirs et de grands projets. À travers ces "vignettes" pointent les galères et les luttes quotidiennes, portées par deux acteurs accompagnés d'un percussionniste.

Un spectacle ludique, émouvant, pétillant, atypique, situé à la frontière du théâtre et du cabaret - qui explore les curiosités et les recoins poétiques de la grande ville contemporaine et donne la parole aux petits, aux invisibles, à ceux-là qui nous ressemblent.

Production : Compagnie du Vieux Singe
Texte et mise en scène : Ophélie KERN
Assistante à la mise en scène : Elsa REPELLIN
Musique originale : Grégoire TERNOIS
Création lumière : Pauline GRANIER
Scénographie : Margot ARDOUIN, avec la participation d'Elodie SACRECE, le regard complice de Stéphane BOIREAU et Xavier WARIN
Costumes : Steffie BAYER
Distribution : Laurence BESSON, David BESCOND (jeu), Grégoire TERNOIS (percussionniste)
Régie lumière : Pauline GRANIER et Margot ARDOUIN (en alternance)
Photos : Jean-Félix MILAN
Co-production - Théâtre Allégro - Miribel et Théâtre de la Renaissance - Oullins Lyon Métropole
Soutien - Théâtre de la Petite Rue, Ville de Neyron, Château de Rochebonne, Théâtre de la Comédie Odéon

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Au lendemain d'une soirée arrosée, Louise se réveille enfermée dans un abri antiatomique avec Mark, un collègue de travail. Le jeune homme lui apprend qu’une attaque nucléaire est survenue… Heureusement, il a tout prévu : des boîtes de chili, des couvertures, de l'eau et même un jeu de Donjons & Dragons ! Confiné, sans nouvelles du monde extérieur, ce "couple" d'infortune est mis à rude épreuve. Peu à peu les masques s’effritent, les désaccords se multiplient et lorsque la faim s'invite, c'est finalement avec rage que les pulsions vont éclater. Dans un dispositif brut, en grande proximité avec les spectateurs, ce huis clos vertigineux, drôle et cruel, nous confronte à nos peurs et à nos propres déviances. En intégrant un percussionniste à ce duel, l'énergie de la batterie intensifie la joute verbale et fixe l'attention sur la langue de Dennis Kelly et son rythme effréné. Loin de toute représentation réaliste, la mise en scène invite le public à se concentrer sur le cœur de la pièce : les relations entre hommes et femmes.

Texte : Dennis KELLY
Mise en scène : Philippe BARONNET
Scénographie : Philippe BARONNET
Lumières : Mathilde FOLTIER-GUEYDAN
Production déléguée : COMPAGNIE KYRNEA
Coproduction : LES ÉCHAPPÉS VIFS
Remerciements Mécénat privé Gaëlle Maigne.

Les Échappés vifs est une compagnie conventionnée par la DRAC Normandie et le département de La Manche

La pièce Après la fin de Dennis Kelly (traduction de Pearl Manifold et Olivier Werner) est publiée et représentée par l’ARCHE - éditeur & agence théâtrale. www.arche-editeur.com 

Jeu : Colomba GIOVANNI - Clément OHLMANN
Batteur : Lucas JACQUART

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Un ciné concert sans les images, une pièce radiophonique live, un hommage au film de zombies ? La Nuit des morts-vivants est un peu tout cela. Elle invite les spectateurs à entrer dans un espace imaginaire, à la fois cabine de doublage, studio de bruitage, labo de recherche sonore, et orchestration d'une bande originale. 

Le spectacle est une re-création du film de George A. Romero de 1968, un film dont le genre est désormais culte, et qui a fait résonance avec son époque - le réalisateur choisit un acteur noir, Duane Jones, pour le rôle principal, en pleine lutte pour les droits civiques – mais aussi avec la nôtre, traversée par des peurs et des tensions politiques et sociales.

A partir de cette oeuvre cinématographique, la pièce s’autorise toutes les libertés par rapport au cadre narratif et aux esthétiques. Sept artistes au plateau font feu de tout bois – dialogues, instruments acoustiques et électroniques, effets, objets, voix – et explorent un vaste monde sonore, inventif et poétique, pour nous emmener au cinéma par l’oreille.

Jeu, objets : Loïc BEDEL
Guitares, synthétiseurs et traitements analogiques, objets sonores, trombone : Olivier BOST
Contrebasse  traitements analogiques, objets sonores : Christophe GAUVERT
Voix, objets sonores, instruments et traitements analogiques : Damien GRANGE
Voix, objets sonores, claviers : Pauline LAURENDEAU
Voix, objets sonores, percussions : Willy LE CORRE
Voix, claviers, traitements analogiques, objets sonores : Marie NACHURY
Scénographie et lumière : Frédéric SORIA
Régie son et multidiffusion : Lucas GARNIER

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Pied Rouge s’apprête à affronter ses démons pour le combat de sa vie. En attendant son adversaire, elle s’échauffe, se livre avec toute la force de sa naïveté.

Entre deux confidences, elle uppercut la réalité et boxe ses idées noires. Le ring devenu le terrain de jeu de son imaginaire, elle risque bien de se mettre K.O toute seule. 
Peu importe le prix à payer, elle doit échapper à son chaos et continuer sa route vers la victoire. Fable héroïque en 3 Rounds,
"Bang Bang" dépeint la violence des uns
envers les autres. C'est de ces "autres" que
Perrine Rouland a choisi de parler avec ce
second seule-en-scène et son personnage Pied Rouge petite femme-enfant fantasque et solitaire. Laissez-vous surprendre par cette histoire qui, pour dénoncer la haine glorifie le courage, le rire et l’innocence.

Jeu : Perrine ROULAND
Mise en scène : Marc GELAS avec Valérie MILLERIOUX
Création lumières et régie : Hugo BUNEL
Chargée de diffusion : Aurore DUPIN -  [email protected]
Avec le soutien de : Théâtre Rikiki et mairie de Lyon 4ème

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La Biche et le Loup-Garou est un spectacle tout public, joyeux, drôle et poétique, qui tire sa matière des Lais de Marie de France, poétesse du 12ème siècle au style particulièrement savoureux.
A travers cinq de ces « contes versifiés », un comédien et une comédienne nous entraînent dans le monde fabuleux de la mythologie médiévale, quelque part entre la légende arthurienne et les contes de Grimm.
On notera toutefois que sous une plume féminine, ces légendes s’enrichissent d’un humour et d’une impertinence portant déjà en germe toutes nos interrogations féministes actuelles.